Le rapport d’étude est en accès libre ici et c’est un rappel au B.A.BA de la Servuction : nous en avions déduit des conseils commerciaux pour les métiers du Service.
Le troisième conseil avait pour titre : « prendre le temps au départ de fixer les règles du jeu ». Une règle est primordiale : définir quelle sera la contribution du client à la mission.
Le Commercial des métiers du Service devra d’abord identifier quelle est la contribution requise pour le bon déroulé de la mission. Charge au prestataire en cours d’exécution :
Le premier niveau de contribution est matériel : le client doit mettre à disposition du prestataire les éléments requis tels une marchandise, des locaux, du matériel de vidéo-projection, des plans, …
Les auteurs de l’étude préconisent de poser également un indicateur de « nombre d’heures » consacrées par le client pour une mission donnée. C’est un élément qui devra donc être estimé et annoncé par le Commercial, en plus des éléments matériels.
Cette contribution « horaire » ne peut pas être uniquement quantitative. Une contribution qualitative est nécessaire et peut s’analyser suivant deux axes :
Deux exemples :
Une mission qui remet en cause un process de l’entreprise (travail conjoint client/prestataire) va augmenter l’intensité intellectuelle requise.
Une mission qui remet en cause un process de fonctionnement personnel (travail conjoint client/prestataire) va augmenter l’intensité psychologique requise.
Plus l’intensité intellectuelle et l’intensité psychologique augmentent, plus le niveau de Servuction augmente, et cela a une incidence directe sur le mode de commercialisation et sur le suivi de la mission. Or pour un même prestataire, ce niveau de Servuction est amené à varier en fonction des missions. Un expert-comptable n’aura pas les mêmes attentes pour une mission de tenue de comptes que pour du conseil en gestion.
Le Commercial en Services a ainsi pour rôle d’identifier et de décrypter, pour le client, quelle devra être sa contribution sur une mission donnée : matérielle, horaire, intellectuelle et psychologique.
Et si le Commercial détecte une incapacité du client à apporter sa juste contribution à la mission, mieux vaut savoir dire non. Surtout que cette incapacité peut être temporaire : n’est-il pas plus pérenne d’éviter le fiasco aujourd’hui en vue d’une mission réussie demain ?
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